Si le hasard t'amène, le plaisir te ramènera ! Voici la seconde partie du reportage consacré au village de Joucou et ces châteaux. Je vous souhaite une bonne découverte, laissez un commentaire si vous le désirez à la fin.
LE DÉFILÉ DE JOUCOU OU GORGES DE JOUCOU
En 1867, construction de trois tunnels de 40, 60 et 20 mètres de longueur, sous l'administration de monsieur Magnien préfet de l'Aude et sous la direction de messieurs Malric agent-voyer chef du département de l'Aude, Louis Fages agent-voyer de l'arrondissement de Limoux et Vacquier agent-voyer conducteur. Ce percement a rendu de grands services à la population, permettant ainsi à la route de continuer à suivre la vallée du Rébenty.
Le défilé de Joucou ou gorges de Rébenty comme si vous y étiez !
Plaque commémorative fixée sur la roche à l'entrée du premier tunnel du défilé.
Voici une succession de photos du passage réalisé dans la roche en 1867, ce qui a grandement favorisé les échanges et les déplacements entre le Pays de Sault et le Sud évitant ainsi un long détour.
Trois tunnels étroits se succèdent dans le défilé de Joucou.
Tunnel de Joucou
Une vue aérienne juste au-dessus du défilé de Joucou avec le piton rocheux à droite protégeant les ruines du château d'Able.
Une vue aérienne du village de Joucou jusqu'aux gorges du Rébenty que l'on voit au fond avec le plateau de Sault.
Une vue aérienne en regardant vers l'Ouest, en direction du défilé de Joucou, le village se trouvant en bas de la photo.
Le Rébenty traverse le village de Joucou
Le Rébenty après sa sortie des gorges il traverse le village de Joucou.
Une vue du village de Joucou en regardant vers l'Est, au fond se dresse le roc de Taffine
La D107 sortant du village de Joucou en direction de Marsa, à droite le roc de Taffine.
Le roc de Taffine (771m), à droite, on aperçoit les toits du hameau de Taffine, juste derrière se trouve les ruines du château de Castelpor.
Voici un extrait de carte IGN vous situant les trois châteaux autour du village de Joucou dont il est question ci-après.
Extrait de la carte du diocèse d'Alet les Bains datant de 1781, situant le château d'Able, le moulin à scie en face, et le château de Castelpor.
En arrivant par le défilé de Joucou, le village se trouve devant vous, et sur votre droite vous apercevez un pan de mur, c'est ce qui reste des ruines du château de Joucou.
Sur ce promontoire, situé à l'Ouest du village de Joucou, se dresse les derniers vestiges du château de Joucou.
A gauche, calvaire se trouvant face à l'ex colonie de vacances "le Soula". A droite, calvaire se trouvant derrière l'église le long du chemin menant aux ruines du château de Joucou.
LE CHÂTEAU DE JOUCOU
Le château de Joucou appartenait à la seigneurie ecclésiastique. L'abbé de Joucou était également seigneur d'Aniort, Campagna, Fontanès et d'une partie de Rodome et Galinagues. Les vestiges d'un donjon-tour rectangulaire juché sur une hauteur dominant le village au lieu dit "Le Casteillas" sont les seuls témoins de son existence. Il communiquait à vue avec les châteaux d'Able et de Castelpor. Malheureusement j'ai très peu d'informations concernant ce château, si vous possédez des éléments historiques qui peuvent compléter ce reportage, envoyez moi vos infos je les rajouterai volontier.
Un pan de mur se dresse au loin, vestige des ruines du château de Joucou vu du village.
Ce pan de mur isolé est le dernier témoin de l'existence d'un château à Joucou.
Le château de Joucou, vu côté Rébenty, des traces de murs dessinent plusieurs salles au sol.
Comme à Montaillou il ne reste pas grand chose du château de Joucou.
Je ne sais pas, si des fouilles ont déjà eu lieu autour de ces vestiges du château de Joucou.
Pour combien de temps encore se dressera cet ultime témoin du passé.
Ruines du château du Joucou, plateforme du donjon.
Le mur vu côté Sud, des ruines du château de Joucou, permet d'observer l'appareillage de celui-ci.
Des vestiges de murs éparses délimitent partiellement l'enceinte du château de Joucou.
Pan de mur important encore debout du château de Joucou.
Ruines du château du Joucou, terrasse côté montagne.
Ruines du château du Joucou, des appareillages de soubassement de murs sont encore bien visibles.
Une vue aérienne des ruines du château d'able sur son éperon rocheux, difficile d'accès.
La route en direction des ruines du château d'Able, l'entrée du défilé de Joucou.
LE CHÂTEAU DU RÉBENTY ou D'ABLE
Juché à 846 mètres d'altitude à l'extrémité de la crête du "Soula", le château communiquait à vue avec ceux de Belvis et de Joucou. C'est vraisemblablement pour défendre le passage stratégique entre la vallée du Rébenty et le plateau de Sault qui conduisait au Donnezan que fut construit le château.
Le château d'Able ou de Saint Jacques d'Able perché sur un haut rocher de la rive gauche du Rébenty, protégeait la communauté de Joucou et son monastère. Ce rocher surplombe d'une hauteur de 300 mètres les trois tunnels, la route et le ravin des gorges de Joucou.
Fédié disait que le château d'Able était une ancienne tour wisigothe. Ce château avait, avait comme celui de Belvis, la forme d'un rectangle tracé sur la crête d'un roc. Les aménagements de défense consistaient dans le chemin d'accès avec deux ou trois portes fortifiées, du côté de l'Ouest. Avec ce qui restait des murs dans les années 1940 on pouvait encore suivre le plan. Il y a 75 ans, d'après le témoignage de l'abbé Moulis, on pouvait discerner son plan rectangulaire mesurant six mètres sur douze et trois murs parallèles formant un accès en chicane.
Le village de Joucou vu des ruines du château d'Able
Au sommet de ce piton rocheux, les ruines du château d'Able, dont on distingue quelques vestiges de pans de murs.
Ruines du château d'Able
La forteresse d'Able ou Aples située sur le territoire de la commune de Joucou, est vraisemblablement d'origine wisigothe V ème - VII ème siècle. Le château d'Able ou de Rébenty comme on l'appelait au X ème siècle, faisait partie du fief des comtes du Razès. Jusqu'au X ème siècle donc, il était désigné sous le nom de Rébenty, inféodé par un seigneur du même nom dont les traces sont conservées dans deux actes l'un de 1124 où figure Guillaume de Rébenti (Guillelmus de Rebentino) il était parmi les nobles qui se soulevèrent en 1124 contre Bernard Aton, l'autre de 1183 où est signalé Pierre Bernard de Rébenti comme témoin dans un acte consenti par Roger comte de Razès.
Les ruines du château d'Able au sommet de ce piton rocheux (flèche rouge).
Zoom sur ce piton rocheux avec au sommet le château d'Able
On aperçoit au sommet les ruines du château d'Able
Les ruines du château d'Able apparaissent derrière les arbres
A gauche, on aperçoit à travers la végétation, les pans de murs du château d'Able. A droite, apparaît un des soubassements de ces murs.
Appareillage d'un des murs du château d'Able
Vestiges de murs d'enceinte du château d'Able envahies par la végétation
La plateforme à l'intérieur de l'enceinte du château d'Able.
Le terrain très abrupt, les ruines sont justes au-dessus de nous.
Au début du XIII ème siècle, pendant la croisade contre les Albigeois, les lieutenants de Simon de Montfort investirent le château. Ses terres et son moulin furent compris dans l'apanage de Lambert de Thury. Able, forteresse royale, résista aux incursions espagnoles lors des luttes entre Louis XI et l'Aragon.
A dater du XIV ème siècle, le château de Rébenti fut appelé le château d'Able. Il appartenait, deux cents ans plus tard, à un seigneur du nom de Nègre d'Able.
Ce château succomba en 1572 devant les attaques des calvinistes et fut détruit.
Le défilé de Joucou menant au château d'Able
Le premier tunnel des gorges de Joucou en direction du château d'Able.
Quatre tunnels se succèdent dans les gorges de Joucou, route étroite longeant le Rébenty.
Les tunnels des gorges de Joucou.
La famille de Nègre l'acheta aux commissaires du roi dont la descendance conserva le titre de sieurs d'Able (Archives du château de Niort).
Jean de Nègre est investi de la charge de bailli de Sault en 1594 et en 1608. Cet office, exercé par son aïeul Antoine de Nègre et son fils Pierre, était héréditaire dans la famille et se conserva dans la branche aîné de Jean, sieur d'Able.
En 1600, Jean de Nègre acheta aux commissaires du roi délégués à l'aliénation des petits domaines, le château ruiné d'Able et ses dépendances, dans le consulat de Belvis, ainsi que la montagne de Lacam ou Pénicas au consulat de Niort. C'est comme cela, par suite de cet achat, que les titres de sieur d'Able et de Lacam passèrent dans sa famille.
Jean de Nègre épousa Marie Serda de Chalabre ils eurent 4 enfants :
- Pierre de Nègre, sieur d'Able, bailli lui aussi de 1590 à 1675, qui suit ;
- Antoine de Nègre, prêtre, précenteur à la collégiale de Saint-Paul-de-Fenouillèdes ;
- Jean François, prêtre, curé de Belcaire de 1639 à 1671 ;
- Françoise, épousa Jean Jacques de Couderc, sieur de Cazelles.
On pense, que Paule de Nègre mariée à Philippe de Niort, ainsi que Charles et Louis de Nègre habitant Caudiès, sont des enfants de Jean.
Pierre de Nègre, bailli, fut marié deux fois. De son premier mariage il eut cinq enfants, dont César de Nègre, chevalier d'Able. De son second mariage avec Marguerite du Bousquet, il eut cinq autres enfants.
La seigneurie d'Able tomba dans l'escarcelle de Jean Thimoléon de Nègre premier fils du premier mariage de Pierre de Nègre.
Jean Thimoléon de Nègre né en 1629 mourut en 1703. Il avait épousé en 1665 Marie Anne de Corneille ou Cornille fille du notaire Jean Corneille d'Aunat. Elle décèdera en 1692. De ce mariage naquît douze enfants, dont François de Nègre qui épousa en 1704 Toinette Gaichier de Roquefeuil, il mourut en 1721. Elle décèdera en 1724. De ce mariage naquît seulement une fille en 1713 : Marie de Nègre d'Able.
Les biens de cette famille de Nègre d'Able seront par la suite transmis par testaments à diverses nièces et ce fut l'extinction de cette branche de Nègre.
Il ne reste de ses ruines aucun élément architectural caractéristique. Le château d'Able protégeait une communauté blottie sous ses murs près de la rivière et dont les ruines sont encore visibles. Les murs de deux maisons qui la composaient ont encore 2 à 3 mètres de haut. La dernière famille qui l'occupa disparut en 1914. Il est probable que le village fut reconstruit au pied du rocher près de l'eau après avoir subi le même sort que celui du château au XVI ème siècle.
Sur la rive opposée, subsistent encore les ruines d'un moulin farinier mentionné dès le X ème siècle transformé en "moulin à scie" au XVIII ème siècle et celles d'une église placée sous le vocable de Saint-Thomas en 873.
Certaines forteresses furent rasées pendant les guerres dé religion, et d'autres lors des incursions espagnoles des XV ème et XVII ème siècles. Si le plus souvent, les communautés rurales ont subsisté à proximité de l'ancienne forteresse, certaines ont été complètement abandonnées comme Able, Gesse (voir le reportage sur Bessède de sault), Dournes, et Castelpor.
Une vue aérienne des ruines du château de Castelpor
Extrait de carte IGN vous situant les ruines du château de Castelpor par rapport au village de Joucou.
LE CHÂTEAU DE CASTELPOR
La forteresse de Castelpor ou Castelpore, Castelport est, elle aussi située sur le territoire de la commune de Joucou.
Castelpor (Castrum Porti, château de passage), ce château d'origine wisigothe, fut inféodé aux comtes du Razès, vers 845. Castrum-por ou Castrum porrum est cité du IX ème au XVII ème siècle dans les archives communales de Belvis.
Situé sur la rive droite du Rébenty en face du village de Marsa il gardait le défilé, comme son nom l'indique.
Ce riche fief comprenait alors : Marsa, Quirbajou, le village d'Altozoul aujourd'hui simple métairie et une grande partie de la forêt de Fanges. En 994 Bernard Odon de Niort donne ce château à sa femme (Inventaire Roques), ainsi que celui d'Aniort et de Belfort.
Castelpor était bâti à mi chemin entre les villages de Joucou et de Marsa, sur un rocher se détachant de la vallée, lui aussi défendait un passage traversant la vallée pour aller de la plaine de Sault au Donnezan par Aunat.
Vers 1080, hommage des châteaux d'Aniort et de Castelpor, rendu par Guillaume, fils de Névié, à Ermengarde, vicomtesse femme de Raymond Bernard de Trencavel.
En 1152 le seigneur de ce fief n'était autre qu'un des membres de la famille d'Aniort qui prêta serment de fidélité à Raymond de Trencavel, comte du Razès, fils de la princesse Cécile de Provence.
Ce serment de fidélité fut renouvelé quelques années plus tard quand le fils de Raymond Trencavel eut à lutter contre le comte du Roussillon et de Barcelone qui avait envahi le pays de Fenouillèdes et qui voulait s'emparer du pays de Rhedez.
En décembre 1175, Roger, vicomte de Béziers reçoit l'hommage des seigneurs d'Aniort, Belfort et Castelpor.
Autre hommage rendu à Raymond de Trencavel en mars 1177, par Raymond d'Aniort, d'Othon d'Aniort son fils, de Pierre d'Aldedune et de Guillaume d'Aniort fils d'Ermecens.
En 1240, Gerault d'Aniort l'offre en gage au roi, mais il ne lui sera pas rendu. Vers 1244 le roi y fit tenir garnison : Bernard d'Erali la commandait avec trois sergents d'armes (Histoire Général du Languedoc, Tome 8, col. 1452).
En 1159, le seigneur feudataire de Castelpor prêta serment de fidélité pour le château, à Raymond de Trencavel, son suzerain. Il était de la famille d'Aniort, au moment de la croisade albigeoise, le château fut assiégé par les armées de Simon de Montfort. Le roi, après sa soumission, en reçut livraison des mains de son seigneur et la forteresse, devenue place royale, eut une garnison de trois sergents d'armes (Servientes) après 1256.
En 1342, Bernard de Castelpor, damoiseau et son frère, prêtèrent leur concours au roi de France pour combattre les Anglais. En 1370, Pierre de Castelpor fut fait capitaine à Narbonne par le vicomte Aymery.
Au cours du XIV ème siècle Castelpor résista aux attaques espagnoles mais pas à celles de la deuxième invasion. Lors des luttes entre Charles VIII et Ferdinand le Catholique, roi d'Aragon, il fut détruit en 1496 par les armées espagnoles qui ravagèrent le pays de Sault. Ne subsistent aujourd'hui que quelques restes de murs.
Si nous remontons à 1594, nous trouvons dans les recherches du diocèse d'Alet un sieur de Plaigne, seigneur de toute juridiction de Marsa et Quirbajou. Son héritière, Anne de Plaigne, en 1667 (acte notarié à Belcaire), s'intitule seigneuresse de Marsa, Quirbajou et Castelpor. Anne de Plaigne était mariée à Guy de Fau, comte de Pibrac, et la seigneurie de Castelpor passa dans cette famille ; elle dut la garder jusqu'à son extinction. En 1748 (acte notarié à Aunat), on y trouve François de Durfort, comte de Pibrac.
Voici quelques photos du village de Joucou :
Photo prise de l'église, la montée.
Le village vu depuis l'oratoire Notre Dame du Rébenty.
Le pont sur le Rébenty permettant l'accès au centre du village de Joucou.
Le pont sur le Rébenty permettant l'accès au centre du village de Joucou.
Joucou, les berges du Rébenty.
La mairie du village de Joucou.
Joucou, la rue principale, la montée vers l'église.
Joucou, la rue principale, la montée vers l'église.
Joucou, la rue principale, la montée vers l'église.
Joucou, la rue principale, la montée vers l'église.
A gauche, Joucou vu des ruines du château. A droite, la rue étroite du cloître.
Joucou, vu des ruines du château.
Joucou, place du cordonnier.
Joucou, porte du parc ou de l'abbatiale ?
Joucou, rue de la mairie.
Joucou, la rue du cloître, on aperçoit les ruines de l'abbatiale derrière.
L'église de Joucou.
Place devant l'église de Joucou, sur la droite de l'église, la route menant aux ruines du château.
Joucou, le long de la D107 en direction de Marsa avec au fond le Roc de Taffine (771m).
Comme à l'accoutumée, voici quelques photos anciennes :
Le village de Joucou en 1900
Zoom sur la photo ci-dessus, le village de Joucou en 1900
Sortie du village de Joucou en direction du défilé en 1900
Le village de Joucou en 1950
Le village de Joucou en 1900, le pont sur le Rébenty, l'école et la mairie.
Le village de Joucou en 1900
Les gorges de Joucou en 1900, en allant vers Niort de Sault.
Deux photos des tunnels des gorges de Joucou en 1900, l'une d'elle est animée.
Les gorges de Joucou, le même endroit que la photo ci-dessus mais en 1965.
Les gorges de Joucou en 1900 en remontant vers Belfort sur Rébenty.
Les gorges de Joucou en 1900
Les deux tunnels des gorges de Joucou en 1900
Les tunnels des gorges de Joucou en 1900
Le premier tunnel des gorges de Joucou en 1900
A gauche, une vue générale des gorges de Joucou en 1900. A droite, le bâtiment de la colonie de vacances "Le Soula" se trouvant à l'entrée du village de Joucou, ici en 1950.
Le premier tunnel des gorges de Joucou, la photo de gauche en noir et blanc date de 1950 et celle en couleur de 1960.
Les gorges de Joucou, la photo de gauche date de 1960 et celle de droite de 1970.
Références bibliographiques : Recherches dans des archives diverses, bibliothèques en ligne, ouvrage de l'abbé Moulis et divers ouvrages publiés aux éditions ACCES, voir leurs publications ICI.
Ainsi se termine ce reportage, en espérant qu'il vous aura intéressé, n'hésitez pas à laisser vos commentaires ... et revenez me voir !
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