Sans plus attendre, voici la seconde partie de l'histoire du château d'Aguilar. Reprenons le fil historique des évènements qui se sont produits au château d'Aguilar et dont nous connaissons les faits grâce aux traces écrites de l'époque qui sont malheureusement peu nombreuses ...
La chapelle Sainte-Anne à gauche, au pied de la forteresse d'Aguilar, nous sommes face à l'entrée principale
Voici des plans réalisés par L. Bayrou dans les années 1930 que j'ai remis au goût du jour, idem pour la coupe ci-dessous
L'enceinte extérieure de la forteresse du côté de l'entrée, la barbacane semi-circulaire est dissimulée par les arbustes, malheureusement il ne reste que les fondations
Panorama Nord / Est, la forteresse royale domine la plaine de Tuchan
Du haut du château d'Aguilar côté Nord / Ouest, je vous avais parlé de la vue splendide dans la première partie du reportage en voici un aperçu avec le mont Tauch au fond et le village de Tuchan à ses pieds
Panorama aperçu d'Aguilar vers une ligne d'horizon plus à l'Ouest
La face Est du castrum avec le mur éperon de l'enceinte intérieure qui permettait au château de résister aux impacts des boulets des assaillants
Une des rares vues côté Est du château d'Aguilar
En 1525, des troupes de Charles Quint composées d'allemands et d'espagnols prennent Aguilar et Tuchan dont les habitants furent amenés en otages à Perpignan. Une rançon de mille ducats d'or fut demandée pour libérer les otages. Un argentier de Perpignan, Narcisse Villaville, avança la somme avec en gage les joyaux et reliquaires de l'église paroissiale de Tuchan. La restitution de ces biens n'interviendra qu'en 1531 avec un accord : les tuchanais s'engagèrent pendant six années à lui céder des pièces de draps produites à Tuchan.
En 1542, le château était placé sous la direction de Jean de Barennes, archer de la garde du roi.
Au début du XVIème siècle, une escarmouche relatée par Blaise de Montluc futur maréchal de France, après le siège de Perpignan par les troupes françaises contre les Espagnols, se déroule en 1536 au pied du château d'Aguilar, déjà en ruine.
Un petit mot sur Blaise de Montluc dont il est question ci-dessus : il est né entre 1500 et 1502 à Saint-Puy, dans le Gers et mort le 26 juillet 1577 à Estillac. En 1536 il défendit victorieusement Aguilar contre une attaque espagnole, il s'illustrera en 1555, par sa défense héroïque de Sienne contre les armées de Charles Quint de juillet 1554 à avril 1555. Lieutenant général de Guyenne à partir de 1564, il se signala par sa férocité au cours de la lutte contre les protestants. En juillet 1570, il eut le nez et les joues arrachés par un coup d'arquebuse alors qu'il montait à l'assaut lors de la prise de Rabastens-de-Bigorre. Cette terrible blessure, qui ne guérit jamais tout à fait, l'obligea à porter un masque de cuir jusqu'à sa mort, afin de cacher son visage mutilé, et mit un terme à ses exploits militaires. En 1574 Henri III, qui appréciait Monluc, consacra la carrière de celui-ci en l'élevant à la dignité de maréchal de France. Il se retira dans son château d'Estillac, où il écrivit ses célèbres Commentaires (publiés en 1592), recueil de mémoires sur les événements civils et militaires de son temps.
Blaise de Montluc
C'est probablement vers cette période, en 1542, que le château d'Aguilar aurait été canonné. D'ailleurs aux alentours immédiats du château il y a une friche appelée "l'Artillerie" parcelle de terrain sur laquelle des boulets en pierre ainsi que des boulets en fer de 10 cm de diamètres ont été retrouvés vers 1905. Ces boulets étaient exposés au musée de Tuchan à cette époque, où sont-ils aujourd'hui ?
De ces 296 mètres d'altitude, la forteresse impressionne côté Sud / Ouest. Photo de droite, la tour Ouest à gauche de l'entrée principale
Les remparts d'Aguilar
Lors d'un siège comme le château d'Aguilar, on estime qu'avec un effectif d'une soixantaine d'hommes (6 par tour, 2 par courtine, 12 disponibles), la forteresse d'Aguilar était, à proprement parler imprenable du fait de sa conception. Le château ne pouvait succomber que par manque de munitions, de vivres et surtout d'eau. En comptant 10 litres d'eau par jour pour tous les besoins d'un homme, la consommation journalière totale est estimée à 600 litres. La citerne du castrum contenait 15000 litres, elle devait donc être épuisée au bout de 15000 : 600 = 25 jours, soit plutôt 20 jours, en comptant quelques têtes de bétail, (moutons, chèvres), constituant la réserve de viande sur pied.
Vestiges de la citerne de la forteresse d'Aguilar
Détails des différentes ouvertures encore visibles à Aguilar (cliquez sur la photo pour agrandir)
A gauche, détail d'une archère. A droite, mesure conservatoire, une consolidation récente d'une des tours
La tour à gorge ouverte Nord / Est
Lors de la destruction de Tuchan en 1543 (le village est brûlé), il semble que le château d'Aguilar ait été pris et occupé par un contingent allemand de 14 000 hommes.
Le dernier châtelain d'Aguilar connu est Jean Gaspard de Gensac en 1569, mais il ne réside probablement plus à Aguilar, puisque l'on peut lire dans les textes anciens qu'Aguilar n'assurait plus la défense du passage dés 1542 (voir la liste des différents châtelains en fin du reportage).
En 1630, le château d'Aguilar est signalé ruiné !
Le côté de l'entrée de la forteresse. La porte du château est en grande partie détruite mais des éléments intéressants restent encore visibles
On se trouve sur la face Sud au droit de l'entrée du réduit, sur le pourtour du château on trouve des amoncellements de pierres en provenance des remparts, il y a du boulot, mais il est possible de consolider les murs de l'enceinte extérieure !
La prise de Perpignan en 1642 n'est que le prélude à l'annexion du Roussillon par la France que viendra entériner en 1659, le traité des Pyrénées qui déplace définitivement cette frontière de l'Aragon, sur la chaîne montagneuse plus au Sud. L'accord est scellé quelques mois plus tard par le mariage du roi de France et de l'infante d'Espagne, Marie Thérèse. Démilitarisée, la fière forteresse royale se transforme lentement en vénérables ruines dont la silhouette domine toujours l'ancienne possession de l'évêque Pierre, une paisible vallée envahie de vignes.
Les XVIIIème et XIXème siècles transforment Aguilar en refuge pour maraudeurs et charbonniers tandis que ces lices abriteront bergers et troupeaux d'ovins. Les quelques ornements architecturaux remarquables seront systématiquement pillés et les pierres de parement jadis méticuleusement taillées par les artisans du roi de France, seront arrachées des murailles pour servir à l'édification des nombreuses bergeries de la région.
L'angle de la tour Nord vu de l'entrée du château
Au début du XXème siècle, les érudits locaux commencent à s'intéresser à l'ancienne forteresse. Classé monument historique le 2 juillet 1949, le château a connu en 1953, des consolidations qui restent visibles de nos jours, ce qui a permis de conserver certaines parties de l'édifice, notamment l'éperon.
En 1981, l'association "les amis d'Aguilar" voit le jour.
De 1996 à 1998, Aguilar a fait l'objet d'importants travaux de restauration afin de sécuriser le monument et de consolider plusieurs élévations, pour les deux enceintes et la chapelle.
Longtemps en ces lieux, une invisible limite commanda aux destinées des hommes. Seuls quelques fantômes de pierres en rappellent aujourd'hui l'existence, Aguilar est de ceux là !
Dessin de L. Bayrou 1930
DESCRIPTION DE LA FORTERESSE
On accédait au château par une ancienne rampe, défendue par une enceinte extérieure dont n'existent que quelques maigres vestiges. On aperçoit en contrebas à l'Ouest, à l'extérieur de l'enceinte du château, les murs de la chapelle romane, dédiée à Sainte Anne. Elle était en fait insérée dans l'aire enclose du village. Elle est relativement bien conservée, la nef de plan rectangulaire d'environ 5 x 4 mètres. On devine aisément son ancien plan roman et la forme de la voûte en berceau, plein cintre, haute à l'époque de quatre mètres. L'abside est voûtée en cul-de-four. L'abside de près de 3 mètres de profondeur, présente deux niches, aménagées dans sa paroi, l'une côté Épitre, l'autre, côté Évangile. Une déclaration du châtelain Pierre de Mirepoix, datée de septembre 1262, fait état d'ornements nécessaires pour la chapelle. C'est vraisemblablement plus tard qu'elle fut consacrée à Sainte Anne qui n'apparaît dans le calendrier qu'en 1382. Ce sanctuaire était encore une chapellenie au XVIIIème siècle.
L'entrée de la chapelle Sainte-Anne située à 25 mètres en contre bas de l'entrée de la forteresse, elle occupe un petit promontoire rocheux dont deux côtés sont à-pic et quasi inaccessibles
L'entrée de la chapelle Sainte-Anne prise sous un autre angle
L'accès à la chapelle Sainte-Anne
Autre saison, voici encore une belle vue de la chapelle avec Tuchan au pied du mont Tauch
A gauche, la chapelle vue de l'entrée de la forteresse. A droite, détail d'une des niches située dans l'abside de la chapelle (cliquez sur la photo pour agrandir)
Intérieur de la chapelle Sainte-Anne, la nef est de plan rectangulaire d'environ 5 x 4 mètres. L'abside est voûtée en cul-de-four et fait 3 mètres de profondeur. il y a des niches aménagées dans la paroi.
L'intérieur de la chapelle Sainte-Anne (cliquez sur la photo pour agrandir), à gauche, détail de l'appareillage de la fenêtre absidiale
La face Nord / Est de la chapelle
Les remparts de l'enceinte extérieure, certains murs ont bien résisté à l'épreuve du temps, 770 ans environs se sont quand même écoulés depuis sa construction !!
La tour Ouest du château
Une autre vue de la cour intérieure du château, côté Ouest au fond le logement seigneurial, à droite les restes du donjon, et à gauche l'entrée du réduit..
Au fond le mont Canigou de la chaîne pyrénéenne
En voici une autre prise en fin d'après-midi
Le château est composé de deux enceintes concentriques séparées par des lices qui desservaient des bâtiments aujourd'hui détruits, il reste des vestiges de ces bâtiments de service, tels que des écuries et habitations des sergents. Sur les courtines Nord et Sud, on distingue les vestiges de deux escaliers d'une largeur de 0,80mètres, qui conduisaient aux chemins de ronde. Dans les lices, il est possible de distinguer parmi les décombres des éléments du chemin de ronde. Il était constitué d'épaisses dalles, larges d'un mètre, soutenues par des corbeaux en forme de quart-de-rond, surmontés d'un bandeau.
A gauche, vestige d'un escalier permettant l'accès à la courtine, au centre la tour Nord, et à droite trace d'un logement avec escalier
Tour de l'enceinte extérieure dite ouverte à la gorge
Voici l'intérieur d'une des tours ouverte à la gorge
Les vestiges de la tour Nord
A gauche, une photo pour vous montrer l'état des tours de l'enceinte extérieurs. A droite, pans de murs de ce qui reste du donjon
Les bases du mur Sud du logement du seigneur qui surplombe l'entrée de la forteresse, situé dans l'enceinte intérieure
Voici une autre vue du logement du seigneur, avec les archères voûtées plein cintre
Détail d'une archère couverte d'un arc plein cintre
Le logis est de forme trapézoïdale d'environ 11 m sur 4,40 m, les archères de cette salle sont couvertes d'un arc plein cintre et possèdent une fente rectiligne extérieure d'une hauteur 1,80 m environ
Ces murs ont traversé les siècles, certains murs comportent des pierres à bossage
Dans certaines tours subsistent des corbeaux à encoche qui supportaient un plancher comme on peut le voir ici
La première enceinte forme un hexagone irrégulier, cantonné à chaque angle de six tours semi-circulaires, elles ont ouvertes à la gorge, afin que tout assaillant qui s'en serait éventuellement emparé soit exposé aux tirs des défenseurs de la première enceinte. Elles ont à peu près toutes les mêmes dispositions, avec des archères à bêche disposées en quinconce très visibles sur les niveaux existants. On trouve les mêmes à Peyrepertuse, à Puylaurens ou sur la porte Narbonnaise de la cité de Carcassonne.
La porte principale, percée dans la courtine Ouest, était défendue par une barbacane semi-circulaire dont il ne reste que les fondations.
La porte du château est en grande partie détruite mais des éléments intéressants restent encore visibles. Elle était protégée par une herse, car sur les deux piédroits un décrochement montre les rainures où elle coulissait.
Panorama sur la cour intérieure du château d'Aguilar
Côté Est, ces tours sont plus rapprochées les unes des autres en raison de la proximité de la colline toute proche.
Une rampe d'accès intérieure permet de franchir la deuxième enceinte, elle aussi irrégulière et surélevée de quelques mètres par rapport au niveau du sol de la première.
Le côté Ouest de cette deuxième enceinte, est défendu par quatre grandes archères voûtées. La cour donnait accès aux logis et permettait d'atteindre la tour donjon rectangulaire, accessible par le flanc Nord. Son sous-sol était occupé par une citerne encore très visible. Le premier niveau était selon toute vraisemblance, voûté en berceau brisé, comme permettent de le distinguer les arrachements encore visibles. A l'intérieur de cette première enceinte, on se trouve probablement à l'intérieur du château initial du XIIème siècle, bien qu'il y ait de toute évidence des ajouts et des reprises d'époques ultérieures. La base des tours rondes laisse penser que ces constructions, à bossages, doivent être datées au plus tôt du début du XIVème siècle. Vers l'Est, l'enceinte intérieure polygonale se poursuit en s'épaississant pour atteindre une largeur de 2,80 mètres à l'extrémité du réduit, en forme d'éperon. L'utilité défensive d'un éperon, s'explique aisément, s'il est dirigé vers le point d'attaque possible par les assaillants. La force d'un projectile se brise sur les deux surfaces obliques de l'éperon sans ébranler la muraille. Ici, l'éperon a bien été construit du côté le plus vulnérable, où les pentes sont moins raides.
Quant à l'enceinte extérieure, qui a pratiquement disparue, elle correspond à une adaptation des défenses du château, postérieure à cette époque comme l'attestent encore ses meurtrières pour armes à feu.
Vous comprenez pourquoi le château d'Aguilar a été construit ici, le point de vue permettait une surveillance totale de la région.
Un dernier panorama côté Nord de la forteresse
Totalement cerné de reliefs, dont la majestueuse barre montagneuse du Tauch à l'Ouest, seuls quelques passages ou col permettent d'y accéder. Le Tauch ! du haut de 917 m il est un véritable refuge de la faune sauvage.
La face Sud / Est de la forteresse royale
Note : En 1999, le château d'Aguilar servit de décor à la série télévisée "Tramontane".
Pour ceux que cela intéressent, voici la liste des différents châtelains d'Aguilar connus :
- Pierre de Mirepoix en 1262 et 1272 ;
- Guillaume de Tinoville, chevalier vers l'an 1280 ;
- Nison de Ricoria, chevalier vers l'an 1282 ;
- Philippe Ambau, en 1285 ;
- Jean de Leyse ou de Voyse, chevalier en 1289 ;
- Pierre de Macherin, en 1300 et 1301 ;
- Hugues de Ravat, chevalier en 1347 ;
- Jourdain de Ravat, chevalier en 1349 et 1352 ;
- Guillaume Grossi, en 1353 ;
- Arnaud Artamoneti de Boz, sergent d'armes, en 1354 ;
- Raymond de Sancon, damoiseau, en 1363 et 1390 ;
- Noble Jean de Vimo, en 1405 ;
- Noble Bernard de Sancon, en 1409 il fut destitué le 21 avril 1411 et rétabli au mois de janvier 1413 jusqu'en 1415 ;
- Étienne Guitardi, pourvu le 21 avril 1411 jusqu'au mois de janvier 1413 ;
- Vital de Saint-Paul, damoiseau, pourvu le 16 novembre 1461 jusqu'au 1er septembre 1485 ;
- Antoine de Tournemire, chevalier, pourvu le 1er septembre 1485, se démit en faveur du suivant le 10 juillet 1498 ;
- Noble Guillaume de Salsan (de Mage), pourvu au mois de juillet 1498, jusqu'au mois de janvier 1519 ;
- Noble François de Marguerites, pourvu au mois de janvier 1519 et en 1533. Il fut aussi châtelain de Leucate ;
- Manaud de Gensac, en 1552 et 1564 ;
- Jean Gaspard de Gensac, en 1569.
Le côté de votre ascension pour accéder au château royal
Tuchan est le berceau de la coopérative du Mont Tauch. En effet, c'est ici que quelques irréductibles pionniers ont érigés la première cave en 1913.
Les 800 habitants de Tuchan constituent la plus grande communauté de ce petit canton isolé dans les Hautes Corbières. Le vignoble de Tuchan est vaste. Les vignes sont plantées sur des sols d’une grande diversité, mais ce sont les sols argilo-calcaires des "bas du Tauch" qui expriment le mieux la richesse de ce terroir.
Voici les ruines du petit château de Domneuve situé sur un petit promontoire (altitude 206m) à 2 km environ au Nord d'Aguilar le long du sentier cathare.
L'endroit est très ruiné, vu l'importance de cette fortification, disons, qu'il s'agit plus tôt d'un bastion défensif et de surveillance au Nord, assurant un relais avec Aguilar
On termine par une superbe photo prise au printemps, du petit village de Paziols situé à 4 km au Sud de Tuchan, on dirait un tableau !
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CARCASSONNE ses cinq fils : QUÉRIBUS - PEYREPERTUSE - TERMES - PUILAURENS - AGUILAR
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